C’est drôle, c’est tragique, c’est virevoltant, cruel et tendre, c’est la vie.
Quand leur mère les dépose devant la grille du Château de Berléac en leur promettant de revenir les chercher, India et Louis ne savent pas ce qui les attend.
» Son silence coupable. Comme s’il avait honte de quelque chose et qu’il ne voulait pas en parler. Elle sentait bien qu’il y avait un problème. Elle aurait aimé qu’il se confie. Quand on s’aime, on se confie, n’est-ce pas ? On partage des nouvelles importantes. On ne parle pas seulement de la météo, du car scolaire et du prix des coquillettes. À quoi ça sert d’être à deux si on reste muets ? C’est du gâchis «
La mariée portait des bottes jaunes
India et Louis ont dix ans et huit ans et demi quand leur mère les dépose devant la grille du Château de Berléac en leur disant qu’elle reviendra.
Les voilà tous les deux à devoir apprendre les codes d’une famille dont ils ignorent tout– ceux d’une dynastie bordelaise, à la tête d’un des plus beaux vignobles de Graves, qui les accueille avec réticence, voire méfiance
Que de rancunes, de secrets, de trahisons en ce château majestueux où chacun joue un rôle et entend occuper le devant de la scène !
Les enfants, sans le vouloir, avec leur candeur, leur innocence, leur opiniâtreté, vont tout dynamiter.
Katherine Pancol est de retour ! Avec son immense talent pour révéler les grandes passions humaines : l’avidité, le désir, la vengeance et l’amour fou…
Katherine Pancol est l’un des plus grands phénomènes d’édition de ces dernières années. Ses titres, traduits dans une trentaine de pays, connaissent un succès mondial. Depuis leur parution, Les Yeux jaunes des crocodiles, La Valse lente des tortues et Les Ecureuils de Central Park sont tristes le lundi, ainsi que la trilogie Muchachas, sont devenus des classiques.
Laisser une reponse