L’écrivaine Bettina Flores était à Aix-en-Provence pour un événement commémoratif. Un moment où la liberté d’expression était défendue.
Un recours collectif majeur
Aix-en-Provence, samedi 18 novembre, place de la Rotonde. Les mêmes portraits, les mêmes visages, les même sourires figés pour l’éternité. Pour certains, la même jeunesse volée avant l’heure. Je les voyais déjà à Perpignan tous les samedis depuis septembre 2021. Une association récemment créée faisait des tirages agrandis des photos des victimes des injections à ARNm avec l’accord des familles. À l’époque, de nombreux badauds s’arrêtaient l’air étonné, ne comprenant pas de quoi il s’agissait. Depuis, à moins d’être sourd et aveugle, il faudrait vivre sur une autre planète pour ignorer cette réalité. Aux États-Unis, un quart de la population connaît quelqu’un décédé du « vaccin ». 42 % d’entre eux, si un recours collectif majeur contre les sociétés pharmaceutiques pour les effets secondaires suite à la seconde dose était lancé, se joindraient probablement au procès (Joseph Stroberg, Nouveau Monde, 5 novembre 2023).
Lire aussi cet Article… Les Calanques de Marseille : « au-delà de la carte postale » !
Anne-Marie Yim
J’ai pu rencontrer à Aix-en-Provence Michèle Musso dont la fille Eva est décédée à l’âge de trente ans le 30 décembre 2021. L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) a enfin reconnu officiellement qu’elle est morte des suites de l’injection Pfizer. Michèle Musso est Présidente de l’association de défense des victimes Les parents désenfantés créée par Dominique Baudinaud et qui a vocation à s’étendre au-delà de la France. J’ai pu discuter longuement également avec Anne-Marie Yim, Docteur en chimie organique et chercheur à l’université du Michigan (USA), qui est venue spécialement du Luxembourg en soutien aux familles. Aucun média local officiel bien qu’invité, n’était présent pour couvrir l’événement.
En France, pour partir en mission en OPEX (Opération Extérieure), la cinquième dose est exigée pour les militaires. Soixante-sept jeunes (moyenne d’âge vingt-sept ans) sont décédés des suites des injections, des jeunes en parfaite santé, surentraînés physiquement, sacrifiés sur l’autel du scientisme le plus débilitant et le plus scandaleux (cf. échange sénateurs-citoyens organisé par le Syndicat Liberté Santé au Sénat le 8 novembre 2023).
Les documents des essais Pfizer ont montré des irrégularités qui relèvent de la fraude scientifique. Les chiffres de mortalité et des effets secondaires sévères étaient connus et ont été minimisés ou falsifiés. Des participants de l’essai ont disparu du jour au lendemain. Il y a même des morts à un endroit qui ont ressuscité à un autre…
Aucune étude sur la double vaccination Grippe-Covid et sur celle des femmes enceintes n’a été fournie par le laboratoire pharmaceutique. Des experts de la Food and Drug Administration des États-Unis ont analysé les données des réclamations Medicare qui ont révélé un risque élevé d’accident vasculaire cérébral chez les personnes âgées après les injections grippe et Covid administrées ensemble (Brenda Goodman, CNN, 26 octobre 2023).
Contre la bronchiolite
Mais, la machine vaccinale continue de s’emballer. Dès la naissance de son enfant, la mère à peine accouchée, se voit proposer le vaccin Beyfortus, un anticorps monoclonal destinés aux nouveau-nés pour les protéger de la bronchiolite, pourtant une maladie bénigne pour ces derniers d’après la Haute Autorité de la Santé. Or, des essais cliniques ont montré des enfants décédés de bronchiolite grave dans le groupe des vaccinés (« Les mauvaises surprises des vaccins et thérapies préventives contre la bronchiolite à VRS », AIMSIB, Hélène Banoun, 12 novembre 2023).
Le stress de la vaccination
La folie Gardasil s’est emparée du gouvernement qui vaccine contre le papillomavirus dès l’âge de douze ans dans les collèges transformés en vaccinodromes, pour les garçons comme les filles au nom de l’équité de genre, comme s’il fallait protéger les utérus des garçons… protection pas du tout avérée justement contre le cancer du col de l’utérus, très rare à ces jeunes âges qui n’a pas diminué, pire qui a augmenté ces dernières années en Australie suite à des campagnes virulentes de Gardasil.
Là encore, de nombreux procès ont été intentés par les familles de jeunes filles lourdement handicapées, leur vie terminée avant même d’avoir commencé. Malgré le décès d’un jeune adolescent de douze ans le 27 octobre 2023 à Nantes qui, quelques minutes après l’injection a fait un malaise et est décédé d’un traumatisme crânien une semaine plus tard, la campagne continue de plus bel.
Vous en connaissez beaucoup des adolescents en pleine santé qui tombent de leur chaise et qui se tuent ? Diagnostic de l’ARS : c’est le stress de la vaccination, la peur de la piqûre !? Après tout, si c’est comme moi qui ai la phobie des aiguilles et autres instruments du même genre… Les parents ont demandé une autopsie pour déterminer les causes réelles du décès de leur enfant.
Un principe de précaution à géométrie variable
Il paraît que les gouttes dans le nez contre le rhume tuent !? des médicaments, qui existent depuis des années mais qui maintenant provoquent des AVC ou des crises cardiaques, d’après Christelle Ratignier-Carbonneil, la Directrice de l’ANSM et vice-présidente de l’EMA (Agence Européenne du Médicament). Elle a déclaré sur France Info le 23 octobre 2023 : « Pensez-vous qu’il soit adéquat de risquer un AVC pour un nez bouché ? Ne les utilisez plus ! ».
Je lui aurais bien répondu : « Pensez-vous qu’il soit adéquat de mourir des injections pour un nez bouché ? Ne les utilisez plus ! ». Ils vont finir par nous convertir complètement aux plantes médicinales, à la soi-disant médecine de sorcière…
Un principe de précaution à géométrie variable, on dirait, ce sujet éminemment tabou qu’est celui des effets secondaires graves et des décès des injections, toujours pour les politiques de droite comme de gauche qui apparemment, ont peur de cramer leur carrière en l’évoquant !
Risque de se prendre des maux de tête
Élisabeth Borne, « Madame 49.3 » en est à son dix-septième en dix-huit mois, grâce à l’entente cordiale qui règne apparemment entre les élus de tout bord, incapables de se mettre d’accord sur une motion de censure pour renverser le gouvernement. No comment ! Le sujet ne mérite même pas d’être évoqué, au risque de se prendre des maux de tête sur la supposée démocratie en France…
Des injections, encore et toujours des injections ! Hommage aux victimes à Aix-en-Provence.
© Bettina Flores, le 22 novembre 2023.
Laisser un commentaire