La danse des pères, Max Lobe

La langue va du funky-Makossa au Boléro, de la rai algéroise aux roulements de hanches, les pointes tombent sur du blues.
Le Livre
Benjamin Muller, danseur classique sur le tard, s’isole chez lui, boulevard de Saint-Georges à Genève, pour revivre son histoire, son rapport aux pères qui l’ont fabriqué.
Trois générations d’hommes.
Kundé Di Gwet Njé, le géniteur, grand conteur élégant et amateur de Funky-Makossa. Puis les pères des indépendances, Ahmadou Ahidjo, Paul Biya. Ceux de la résistance, l’écrivain Mongo Beti. Enfin, Wolfgang, l’ancêtre dont l’esprit brille comme un oiseau de feu. Tous les hommes d’une vie. Miss Parks la fleuriste, son amie Okonkwo la danseuse, Estha Minlah, la mère valeureuse.
La langue va du funky-Makossa au Boléro, de la rai algéroise aux roulements de hanches, les pointes tombent sur du blues.
Auteur
Né à Douala en 1986, Max Lobe grandit dans une famille de sept enfants. Il arrive en Suisse à l’âge de 18 ans, deux ans après l’obtention de son Bac. À Lugano, il suit des études de Communication et journalisme. Passionné d’histoire et de politique, il suit un Master en Politique et Administration publique à l’Institut des Hautes Etudes en Administration Publique de Lausanne. Il est établi aujourd’hui à Genève. Ses textes, tous publiés aux éditions Zoé, comprennent notamment 39 Rue de Berne (2013), Confidences (2016, Prix Amadou Kourouma 2017), ou encore La Promesse de sa Phall’excellence (2021).
S’inspirant de la littérature traditionnelle africaine ainsi que des réalités de l’immigration en Suisse, Max Lobe traite des thématiques comme l’homophobie, la religion, la violence et de la situation des personnes sans-papiers.
#BenjaminMuller #LaDanseDesPères #MaxLobe #Cameroun #Homophobie #LGBTQIA+ #Violence
Laisser un commentaire